Moi... et moi

J'attends vos textes

Expérience ou réaité de chaque jour, souvenirs ou fantasmes, peu importe. Envoyez vos textes à melissa.nature@caramail.com

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Bonjour

D’accord ! La plupart des yeux qui se poseront sur ces textes seront ceux des hommes. Sachez, messieurs, que je n’ai rien contre vous. J’aimerais pourtant faire de ce blog un lieu d’échange entre femmes. Je suis lesbienne en effet. Pourquoi ne pourrait-on aussi avoir l’envie de partager par l’écrit nos fantasmes, nos désirs et nos expériences ?

J’attends, mesdames et mesdemoiselles, vos textes chauds, torrides et sulfureux, qu’ils soient réels ou imaginaires.

Deux règles : amours au féminin et respect.

Quant à vous messieurs, vous devrez vous contenter de lire. Je ne doute pas que certains y prendront un certain plaisir.

Maintenant, comme il faut bien nommer ce blog et que je suis chez moi, bienvenues dans « Une alcôve réservée aux femmes ».

Samedi 30 août 6 30 /08 /Août 14:48
Je suis méchante d'avoir délaissé mes devoirs envers ce blog, d'accord. Mais j'ai vécu une histoire... Hum ! Nous raconterons cela plus tard. Pour l'instant, voici de quoi meubler les rêves (ou fantasmes) de votre week-end.


Par Mélissa - Publié dans : Vidéos
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Vendredi 27 juin 5 27 /06 /Juin 15:58

Tout en douceur, comme toujours, de quoi remplir votre nuit de rêves chauds

Par Mélissa - Publié dans : Vidéos
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Vendredi 27 juin 5 27 /06 /Juin 06:34
Voici quelques scènes de Clara morgane...


et quelques copines...


toujours aussi belle...


toujours aussi désirable...


Même quand elle est seule.
Par Mélissa - Publié dans : Vidéos
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Jeudi 26 juin 4 26 /06 /Juin 05:58

Il m’est arrivé de suivre une nana qui me plaisait terriblement sur le parking d’un centre commercial. Mon attention fut attirée ce jour-là par une jeune fille au volant d’une voiture. Ses courts cheveux châtains, tout en soulignant la finesse du visage, dégageaient un cou gracile. Elle portait une ample jupe mi-longue au tombé gracieux au niveau des genoux, et un pull léger assorti.

Je la suivis donc, traversant le parking et s’engouffrant dans la galerie. La transparence de sa jupe laissait deviner des cuisses fermes, parfaitement galbées, et des fesses… hum. Le pull moulait une poitrine orgueilleuse, car aucune attache de soutif ne se distinguait. Plus elle marchait, se déhanchant lascivement, plus je me sentais excitée. Ce que j’ignorais… La belle s’arrêta devant la vitrine d’un chausseur. Je ne pouvais décemment plus continuer ce petit jeu. Au moment où je passais juste à côté, prête à laisser tomber, une voix me héla : « Vous pouvez me donner l’heure ? »

Je fus alors confrontée à un regard pénétrant, subtile dosage de force et de douceur, et peinai à répondre. L’inconnue me détailla, puis indiqua le bistrot de la galerie. « Je vous offre un verre. »

Je ne songeai pas à refuser, et la suivis.

Me sachant séduite, la beauté me suggéra de venir près d’elle sur la banquette. La table assez haute recouverte d’une nappe de tissu ne laissait apparaître que nos bustes. Sans plus de préambule, elle saisit mon poignet et posa ma main sur sa jupe au niveau de son entrecuisse. Oups ! Plus de doute. Je l’ai caressée en douceur, prenant bien garde de conserver une expression neutre. Son sexe nu sous le tissu léger réagit en devenant humide. J’en ai fait dans ma vie, mais branler une nana dans un bistrot… Au point que, émoustillée par la situation, ma mouille trempait ma culotte. Elle se pencha vers moi et murmura à mon oreille : « J’ai envie que tu me caresses. » On quitta le bar et, après une courte balade dans sa voiture, on s’arrêta dans un endroit désert.

L’inconnue recula les sièges et, sans plus de préambules, dégrafa mon jean et le fit glisser jusqu’à mi-cuisses. Elle embrassa ma chatte par-dessus le coton de mon slip, tandis que ses doigts par en dessous dénichèrent mon clitoris. Une contorsion me permit de soulever son pull et de lui caresser les seins aux tétons déjà durcis.

Soudain elle m’abandonna, releva sa jupe pour me prouver qu’elle était nue en dessous, et emprisonna ma tête entre ses cuisses. Je savais maintenant ce qu’elle voulait. J’ai pris plaisir à lécher ce sexe doux à peine ouvert, comme le mien. Elle non plus n’aimait pas les godes. Ma langue allait et venait entre ses petites lèvres, fouillaient sa vulve, je la mangeais. Mon souffle chaud déclencha une réaction de son clitoris que je léchais à son tour. Elle gémissait et soupirait tandis que je la buvais et que mes mains s’affolaient sur ses seins. Mon inconnue jouit trop vite à mon goût. Je poursuivis mon manège jusqu’à ce qu’elle demande grâce.

Je ne demandais même pas qu’elle me rende la pareille, sonnée par l’aventure, quand elle descendit de la voiture, ouvrit la portière côté passager, et me fit me tourner. Elle s’agenouilla entre mes cuisses après avoir enlevé mon jean, et observa mon minou à la toison dorée. « Si j’étais blonde comme toi, moi non plus je ne m’épilerais pas. »

J’allais répondre qu’une touffe foncée peut être jolie, quand sa bouche sur ma fente m’arracha un cri. J’avais la chatte en feu, trempée au point que ça coulait sur son menton, ce qui n’était pas pour lui déplaire. Elle suçait mes lèvres et fouillait mon sexe avec délectation. Ses gémissements prouvaient son plaisir alors que c’était elle qui me bouffait. Puis elle aspira mon clito avec douceur et l’affola de la pointe de sa langue. Ce fut pour moi une montée en flèche. Me devinant prête, mon amante inconnue fouilla de nouveau ma chatte de sa langue, tandis que ses doigts s’activèrent à me branler de plus en plus fort. J’ai eu un orgasme démentiel.

Elle me ramena jusqu’à ma voiture, et je lui proposai de continuer la soirée chez moi. Elle accepta.

Par Mélissa - Publié dans : Souvenirs
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Mercredi 25 juin 3 25 /06 /Juin 17:38
La beauté à l'état pure, la sensualité, le sexe est ausi une histoire de femmes




C'est tout pour aujourd'hui. Vous avez de quoi patienter, non ?
Par Mélissa - Publié dans : Vidéos
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Mercredi 25 juin 3 25 /06 /Juin 05:26
Quelques chaudes vidéos...


Faites monter la température...


Laissez vos sens s'exprimer...

Embrassez, caressez, léchez...

Laissez l'orage éclater !

Par Mélissa - Publié dans : Vidéos
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Mardi 24 juin 2 24 /06 /Juin 06:20

J’avais 19 ans quand Sarah m’a amenée au Grau du Roy en vacances. Je sortais d’une histoire (trois ans avec celle qui me permit de me découvrir), et cette copine – la plus sage de la fac – ne voulait pas m’abandonner. Jamais personne ne l’avait vue avec un garçon, ni avec une fille. Elle était pourtant mimi avec son visage fin sous des cheveux noirs tombant sur ses épaules, des fossettes qui mettaient sa petite bouche entre parenthèses.

Le premier soir, à table devant le mobil home qu’on devait partager pendant deux semaines, j’ai pris une cuite. On était bien toutes les deux à rire de nos souvenirs de l’année passée en cours, et je n’ai pas fait gaffe envidant quelques bières de trop.

Évidemment je me suis réveillée dans la nuit avec la pépie. Pourquoi je n'avais pas mis une bouteille d'eau près du lit ? Je me sentais nulle. Debout à la porte de ma chambre, je réussis à me repérer dans la grande pièce grâce à la luminosité estivale, et me focalisai un instant sur l’entrée de la chambre de ma copine à l’autre bout du mobil home. Plus sérieuse au cours de la soirée, ma copine devait faire de beaux rêves.

Je remplis un verre d’eau et, à l'instant de tremper mes lèvres dans le liquide bienfaisant, une plainte s'évada de la pièce fermée, aussitôt suivie d'une autre. La nuit semblait décupler la puissance des râles.

Mes pieds nus s'activèrent jusqu'à la porte. Sarah se sentait mal ? Pas question de rester sans réaction. Je levai une main au dessus de la poignée, quand un nouveau son priva mes doigts de leur autonomie.

– Oh !

Intriguée, j’éprouvai soudain le besoin de se faire voyeuse. Ce cri ne trouvait pas son origine dans la douleur, mais signifiait la recherche du plaisir. Les jambes flageolantes, je collai un œil au trou de la serrure.

 

 

La lune illumina la scène du grand lit, du drap inutile jeté à bas. Les pieds tendus, les muscles des cuisses se contractaient, en redessinaient le galbe. La peau luisait de transpiration. Une de ses mains caressait ses seins, tandis que l’autre plongeait dans son intimité. Ainsi, mon amie se satisfaisait dans sa solitude nocturne. Toujours très sage, la belle entretenait son désir. Un remords me perturba soudain.

« Mais qu'est-ce que je fais là ! »

Au moment de me relever, le craquement du sommier accompagna un cri et sonna le glas de la volonté.

– Hum… Mélissa…

Oups ! Bien sûr je la trouvais jolie, mais j’avais été amoureuse de ma première copine, donc fidèle même en pensée. Et puis personne de ma connaissance ne pouvait se vanter d’avoir fait craquer cette nana, raison de plus pour ressentir une pointe d’orgueil. Mon regard se fit acéré devant la portée symbolique de la révélation. Je voyais, d’accord, tout de même pas comme en plein jour.

Les pointes érigées sublimaient ses petits seins dressés. Son ventre frémissait, animé par des contractions irrégulières. Repliées auparavant, ses jambes tendues dévoilaient une superbe toison et sa fente à peine ouverte.

Un doigt caressait l'intérieur de la vulve, la pénétrait par instant. Un autre cajolait le petit bouton de chair à la jonction des lèvres. Des ruades convulsives contrariaient la lente masturbation, prouvaient l'imminence du plaisir.

La sécheresse de ma bouche n'empêcha pas mon intimité de ruisseler face au spectacle qui ne souffrait d'aucune vulgarité.

Bientôt Sarah abandonna ses seins. Une de ses mains écarta sa chatte, tandis qu’elle se branla le clito de l’autre. Et de nouveau elle m’appela dans son fantasme :

– Oh ! Mel… je…

Ainsi conviée, mon regard alourdi caressa le corps exposé, suivit ses gestes naturels, beaux car irréfléchis. Puis j’accompagnai par la pensée ma tendre amie dans la jouissance, et me régalai de ses spasmes jusqu'à l'anéantissement total.

Pas facile de trouver le sommeil après ça.

Par Mélissa - Publié dans : Souvenirs
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Lundi 23 juin 1 23 /06 /Juin 06:44

Trop amoureuse de la liberté pour revendiquer la ghettoïsation, j’ai des amies hétéros avec qui j’entretiens des relations sans ambiguïtés. Quand Émeline est arrivée chez moi vendredi de la semaine dernière, j’ai deviné le drame à ses grands yeux marron cernés de bistre et à ses cheveux châtain mi-longs flottant librement au lieu de l’éternelle queue de cheval.

– Tu t’es encore disputée avec ton mec, lui dis-je sans ambages en la poussant dans le salon.

– Je l’ai quitté ! Je peux passer la nuit chez toi ?

Bon ! Connaissant la miss depuis une vingtaine d’années, depuis que nous jouions à la doctoresse en cm2, sa vérité ce soir là risquait fort de devenir mensonge le lendemain. Ce n’était pas une raison pour la flanquer dehors.

– Installe-toi, t’es ici chez toi.

Ce qu’elle fit.

 

Nous étions deux heures plus tard éméchées (je n’allais pas la laisser boire seule, imaginez la trahison) côte à côte devant l’écran de l’ordi. Émeline ne voulait pas sortir car peur de se montrer dans cet état, ne souhaitait pas écouter de la musique car déjà trop nostalgique, et ne sentait pas le sommeil venir car trop énervée.

Moi ? J’avais décommandé une soirée, oubliant la jeunette à qui j’avais arraché un rencard avec difficulté et que je devais draguer. L’amitié est une belle chose. Émeline alterna les rires surfaits et les coups de blues pendant un moment, puis s’abandonna la joue sur mon épaule.

Alors que je pensais que l’alcool faisait effet, sa main se posa sur ma cuisse. Bon ! Il s’agissait sûrement d’un acte purement amical, signe d’une détresse véritable. Ma copine acceptait mon choix de vie, mais ne le partageait pas.

J’attendais des sanglots ou des confidences, quand soudain tout chavira. La chaleur de sa paume m’électrisa à travers le jean en remontant vers mon entrejambe, sa bouche se colla à mon cou. Que faire ?

J’aurais dû l’arrêter, lui expliquer avec gentillesse que ce n’était pas bien. Mais la chair est faible, surtout la mienne. Et la curiosité me tétanisait de savoir jusqu’où elle était prête à aller. Il ne me fallut pas attendre longtemps.

Sa bouche remonta le long de mon cou et sa langue joua avec le lobe de mon oreille. Pendant ce temps, sa main dégrafa le bouton de mon jean, descendit le zip de la braguette, et plongea dans ma culotte.

Émeline joua quelques instants avec ma toison. Mon système pileux peu développé, mon minou est orné d’un duvet blond très doux que je me refuse à raser. Le geste, pas vraiment sexuel, avait cependant un terrible pouvoir érotique. Mes dernières réticences fondirent, et ma mouille trempa mon entrecuisse.

Ce genre de situation ne mène évidemment à rien de bon, mais il était un peu tard pour me poser des questions existentielles sur le bien et le mal. Surtout quand elle caressa mon sexe avec lenteur, une lenteur exaspérante. Je jouais toujours le rôle de la doctoresse dans la cour de récré. Et aujourd’hui…

Son index joua dans ma grotte sans la pénétrer entièrement, tandis que son pouce dénichait mon clito. Loin de rester inactive, son autre main s’occupa de mes seins à travers mon chemisier. J’ai une petite poitrine et pas besoin de soutien-gorge.

Dingue ! Une copine d’enfance me masturbait, me pelotait et me mordillait le lobe de l’oreille, alors que nous étions assises devant l’ordi. Une copine cent pour cent hétéro qui plus est. Je me sentais couler littéralement sur ses doigts.

Je n’ai pas osé un geste envers Émeline, de peur de rompre le charme, et je me suis contentée de déboutonner mon chemisier. Elle comprit le message aussitôt, et sa bouche abandonna mon oreille pour mes seins qu’elle embrassa goulûment, tétant les pointes que j’ai ultrasensibles.

Ma copine s’activa ainsi jusqu’à me faire jouir, quand elle pinça mon clito et le fit rouler entre deux doigts, en me mordillant les tétons à tour de rôle. J’ai eu orgasme bref, très puissant, qui me fit trembler des pieds à la tête. Puis, comme une surprise ne vient jamais seule, Émeline me roula un patin tout en douceur pour faire retomber la pression.

Par Mélissa - Publié dans : Souvenirs
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Dimanche 22 juin 7 22 /06 /Juin 19:09
D'accord, c'était hier la fête de la musique...

M'enfin ! On peut faire ça tous les jours...

On bosse toute la semaine...

On peut bien s'aimer le week-end...

Perso, je ne m'en passe pas !
Par Mélissa - Publié dans : Vidéos
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Samedi 21 juin 6 21 /06 /Juin 22:02

Je travaille dans la même boîte depuis quatre ans. Sans me vanter, une blonde naturelle attire. Les mâles du service ont tous tenté leur chance, et j’ai dû inventer un petit ami imaginaire pour avoir la paix.

Une collègue de bureau se comportait avec compassion envers moi, car ces machos ne lui foutaient la paix que depuis mon arrivée. Il nous est arrivé d’aller au resto et de faire les boutiques, je l’ai donc déjà vue en sous-vêtement et inversement. Cathy est une belle femme d’une trentaine d’années avec de courts cheveux châtain clair encadrant un visage doux et grave à la fois. Un jour elle me proposa de profiter de la piscine chez ses parents absents.

Nous étions seules dans la grande propriété familiale, et Cathy a proposé de nous baigner nues. Je ne suis pas exhibitionniste mais j’avais envie de la voir, certaine de ne pas regretter le résultat. J’ai suivi en douce son déshabillage, m’attardant sur ses seins un peu plus gros que les miens, je dirais un 90 c tandis que je n’ai qu’un 85 b. J’ai été un peu déçue de la découvrir entièrement épilée, par contre je me suis régalée de son cul superbe.

Plusieurs fois dans l’eau j’ai senti ses mains effleurer mes seins ou mes fesses, et mon gaydar s’affola. Pourtant rien de probant, et j’ai décidé de rester sage de peur de sa réaction si j’en profitais. Puis on quitta la piscine vers 17 heures pour la salle de bains. Je suis entrée la première dans la cabine de douche, mais ma collègue me rejoignit vite à ma grande surprise.

– Ça ne te dérange pas qu’on se douche ensemble ? me demanda-t-elle.

Je lui répondis que non sans mentir, même si on se trouvait un peu à l’étroit. Cathy me savonna le dos puis caressa mes fesses. Cette fois ce n’était pas un accident. Contente de la voir prendre l’initiative je me retournai, et elle me prit la bouche aussitôt. J’adore être embrassée, ce qui est pour moi le summum de l’érotisme.

Tandis que sa langue fouillait ma bouche, ses mains se dirigèrent aussitôt l’une vers mon sexe et l’autre sur mes fesses. Elle caressa mon clitoris avec douceur puis introduisit un doigt dans ma chatte, et fit un va-et-vient de plus en plus rapide, me mettant en état de chaleur indescriptible.

Alors que je m’attendais à une branlette rapide sous la douche, Cathy me fit sortir de la cabine et m’amena dans une chambre attenante à la salle de bains. Nous étions trempées de la douche et d’excitation, car les effluves qui s’élevaient de nos corps n’avaient pas le parfum du gel douche.

Ma collègue me bouscula sur le lit, écarta mes cuisses, et glissa sa langue dans ma chatte. Elle n’en était pas à sa première expérience. Je ne garde jamais les yeux fermés car j’adore voir mon amante, ça joue un rôle important dans l’expression de ma libido. Aussi quand j’ai vu Cathy s’occuper de son sexe d’une main, je l’ai interrompue et on s’est mises en soixante-neuf, elle au dessus de moi.

Sa chatte ressemblait à un petit abricot que je m’appliquai à ouvrir, tandis qu’elle continuait à me lécher à et à sucer mon clito. C’était si bon que j’avais du mal à me concentrer.

Je finis par me délecter de son fruit. Ses lèvres étaient douces et son jus doux amer sans être écœurant. J’enfonçais ma langue à l’entrée de son vagin tandis que je branlais son clito doucement, elle adorait. Puis j’introduisis un doigt en elle et commençait un lent va-et-vient. Cathy me fit comprendre en appuyant sur ma main de la baiser plus fort et plus vite. Elle ne parlait pas car sa bouche ne quittait pas ma chatte. Sa langue allait et venait entre ma vulve et mon bouton qu’elle pinçait entre ses lèvres. On est restés à faire l’amour comme ça un long moment.

J’ai joui la première sans arrêter de la prendre avec deux doigts et de la lécher. Elle a appuyé un doigt juste au dessus de mon clito et cette caresse m’a rendue folle tandis que sa langue me fouillait. Puis j’ai senti sa mouille devenir plus âcre et elle a eu son orgasme aussi. En fait c’était presque une éjaculation féminine et je m’en suis régalée.

 

Ensuite elle m’a serrée dans ses bras comme si j’étais une petite fille, alors que j’ai en fait deux de plus. Cathy m’a avoué avoir deviné que j’étais lez dès notre première rencontre, et avoir eu envie de moi aussitôt. Comme elle avait une copine attitrée on n’a plus jamais refait l’amour.

Par Mélissa - Publié dans : Souvenirs
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