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Jeudi 26 juin 4 26 /06 /Juin 05:58

Il m’est arrivé de suivre une nana qui me plaisait terriblement sur le parking d’un centre commercial. Mon attention fut attirée ce jour-là par une jeune fille au volant d’une voiture. Ses courts cheveux châtains, tout en soulignant la finesse du visage, dégageaient un cou gracile. Elle portait une ample jupe mi-longue au tombé gracieux au niveau des genoux, et un pull léger assorti.

Je la suivis donc, traversant le parking et s’engouffrant dans la galerie. La transparence de sa jupe laissait deviner des cuisses fermes, parfaitement galbées, et des fesses… hum. Le pull moulait une poitrine orgueilleuse, car aucune attache de soutif ne se distinguait. Plus elle marchait, se déhanchant lascivement, plus je me sentais excitée. Ce que j’ignorais… La belle s’arrêta devant la vitrine d’un chausseur. Je ne pouvais décemment plus continuer ce petit jeu. Au moment où je passais juste à côté, prête à laisser tomber, une voix me héla : « Vous pouvez me donner l’heure ? »

Je fus alors confrontée à un regard pénétrant, subtile dosage de force et de douceur, et peinai à répondre. L’inconnue me détailla, puis indiqua le bistrot de la galerie. « Je vous offre un verre. »

Je ne songeai pas à refuser, et la suivis.

Me sachant séduite, la beauté me suggéra de venir près d’elle sur la banquette. La table assez haute recouverte d’une nappe de tissu ne laissait apparaître que nos bustes. Sans plus de préambule, elle saisit mon poignet et posa ma main sur sa jupe au niveau de son entrecuisse. Oups ! Plus de doute. Je l’ai caressée en douceur, prenant bien garde de conserver une expression neutre. Son sexe nu sous le tissu léger réagit en devenant humide. J’en ai fait dans ma vie, mais branler une nana dans un bistrot… Au point que, émoustillée par la situation, ma mouille trempait ma culotte. Elle se pencha vers moi et murmura à mon oreille : « J’ai envie que tu me caresses. » On quitta le bar et, après une courte balade dans sa voiture, on s’arrêta dans un endroit désert.

L’inconnue recula les sièges et, sans plus de préambules, dégrafa mon jean et le fit glisser jusqu’à mi-cuisses. Elle embrassa ma chatte par-dessus le coton de mon slip, tandis que ses doigts par en dessous dénichèrent mon clitoris. Une contorsion me permit de soulever son pull et de lui caresser les seins aux tétons déjà durcis.

Soudain elle m’abandonna, releva sa jupe pour me prouver qu’elle était nue en dessous, et emprisonna ma tête entre ses cuisses. Je savais maintenant ce qu’elle voulait. J’ai pris plaisir à lécher ce sexe doux à peine ouvert, comme le mien. Elle non plus n’aimait pas les godes. Ma langue allait et venait entre ses petites lèvres, fouillaient sa vulve, je la mangeais. Mon souffle chaud déclencha une réaction de son clitoris que je léchais à son tour. Elle gémissait et soupirait tandis que je la buvais et que mes mains s’affolaient sur ses seins. Mon inconnue jouit trop vite à mon goût. Je poursuivis mon manège jusqu’à ce qu’elle demande grâce.

Je ne demandais même pas qu’elle me rende la pareille, sonnée par l’aventure, quand elle descendit de la voiture, ouvrit la portière côté passager, et me fit me tourner. Elle s’agenouilla entre mes cuisses après avoir enlevé mon jean, et observa mon minou à la toison dorée. « Si j’étais blonde comme toi, moi non plus je ne m’épilerais pas. »

J’allais répondre qu’une touffe foncée peut être jolie, quand sa bouche sur ma fente m’arracha un cri. J’avais la chatte en feu, trempée au point que ça coulait sur son menton, ce qui n’était pas pour lui déplaire. Elle suçait mes lèvres et fouillait mon sexe avec délectation. Ses gémissements prouvaient son plaisir alors que c’était elle qui me bouffait. Puis elle aspira mon clito avec douceur et l’affola de la pointe de sa langue. Ce fut pour moi une montée en flèche. Me devinant prête, mon amante inconnue fouilla de nouveau ma chatte de sa langue, tandis que ses doigts s’activèrent à me branler de plus en plus fort. J’ai eu un orgasme démentiel.

Elle me ramena jusqu’à ma voiture, et je lui proposai de continuer la soirée chez moi. Elle accepta.

Par Mélissa - Publié dans : Souvenirs
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